La mesure combinée de la qualité de l’air et de l’occupation des bureaux et salles de réunions amène parfois à des surprises…
La raison est une ventilation déficiente. Si la ventilation n’est pas efficace, on peut atteindre des niveaux de CO2 largement supérieurs aux limites légales. Une motivation supplémentaire pour mesurer la qualité de l’air: demander au service Facility Management de régler le problème, sur base de chiffres factuels !
Pour rappel, le suivi de la qualité de l’air, notamment visualisée grâce à la mesure du taux de CO2 dans l’air ambiant, est indispensable, afin de limiter la transmission des maladies contagieuses (COVID, grippe, …) – et donc lutter contre l’absentéisme -, améliorer la concentration, réduire les maux de têtes… C’est aussi une obligation légale. Le niveau de CO2 doit être maintenu en dessous de 900 ppm ou 950 ppm selon les pays. Au delà de 1200 ppm, les experts considèrent qu’il y a danger pour le bien-être des occupants.
La mise en oeuvre conjointe de l’occupation (bureaux, salles de réunion) et de la qualité de l’air est simple. L’installation de quelques capteurs (sur batterie, sans câblage) connectés notre solution de Smart Building.
Elle permet de comprendre l’utilisation qui est faite des espaces de bureaux:
- sous utilisation,
- pointes d’utilisation,
- ratio d’utilisation des bureaux vs salles de réunion
- utilisation réelle des salles de réunion (vs privatisation d’une salle pour un employé qui souhaite s’isoler)
Elle permet aussi de mesurer la qualité de l’air. Car la qualité de l’air est liée au nombre de personnes présentes, et l’expérience montre que la ventilation n’est pas toujours dimensionnée ou configurée en fonction de l’utilisation réelle et actuelle des lieux.
Plus sur Smart Office – Smart Workspace.